« L’Homme expulsé de chez lui quitte avec les torts de la rupture dans son baluchon »
Vous êtes-vous déjà demandé ce qui pouvait se passer dans la tête d’un homme paisible, sans histoire, qui pète les plombs et pose des gestes graves avec des conséquences irréversible lors de la rupture?
Vous et moi savons que ce n’est pas d’hier que des idiots battent leur conjointe. On ne peut l’ignorer. Même si la société ignore la violence féminine moins physique, moins spectaculaire mais combien dévastatrice. Elle connaît bien la structure émotionnelle de sa victime.
Pourquoi certains hommes lors de la rupture se sentent immédiatement agressés, vulnérables, trahis et passent à l’offensive? On s’empressera de dire : « Ah, il est jaloux et possessif! » Bien sûr mais ce n’est qu’une pointe de la tarte, le reste se trouve dans la bouche à bouche ou bien certains faits racontent que l’appareil judiciaire est pipé, oui pipé comme au casino, malheureusement la roulette tourne au féminin.
Je ne prêche pas la pureté de l’innocence masculine mais dénonce ouvertement l’iniquité en matière familiale, judiciaire et sociale dont la plupart des hommes sont visés et les enfant sont des victimes collatérales, d’un sinistre vaudeville de plus en plus à la mode
Vous ne pouvez pas vous imaginer parfois les bombes à retardement que vous croisez dans la rue? Des hommes au regard froid, leur dossier sous leurs bras, trimbalant partout leur misérable vie lavée par des avocats peu scrupuleux ou des jugements dignes des films hollywoodiens. Ces gars-là, n’ont plus rien à perdre, on leur a tout pris, argent, statut social, enfants, etc. Ils dormiront dans leur voiture, s’ils parviennent à n’en garder une. Ils crècheront chez leur grand-père dans un sous-sol pas fini.
23 ans comme flic, plus de 15 ans auprès des hommes en difficultés, j’ai bossé là ou l’appareil sociojuridique a »dompé » les laissés pour compte, sans se soucier des conséquences à court et long termes et générationnelles créant malheureusement une société de jeunes enfants trop souvent traumatisés par des ruptures qui n’en finissent plus et qui se gèrent sur leur dos. Les sommes investies dans une rupture n’iront jamais dans un compte de banque pour les études des enfants.
Mes récits sont durs, véridiques, et interpellent une conscientisation de la part de tous, même si cela est inconcevable dans notre société dite »démocratique » et qui n’a sur les lèves : « Pour le plus grand bien des enfants ».